The 5 additional steps / les 5 étapes supplémentaires

DEATH THROES: The 5 additional steps to 
THE 10 QUICK STEPS TO FIRE THE EMPLOYEES OF YOUR SUBSIDIARY WITHOUT SPENDING A PENNY 

Remember…
1) Inform your subsidiary that you won't provide financial support anymore
2) Recapitalize it, buy up the debts in order to liquidate it later
3) Inject a small amount of money again as a loan
4) Call on the services of a world-renowned consulting firm to analyse a market you have been on, for more than 50 years
5) Require the help of a legal agent with no experience in direct selling to identify solutions
6) Appoint the "saver of the subsidiaries in crisis" of the Group as the Country Manager
7) Let him work on solutions to revive the subsidiary’s business
8) Decline politely the suggested solutions (especially those with a return on investment over 5 years)
9) Wait for the results to collapse until the state of insolvency
10) Let the Commercial Court decide the future of the subsidiary and let the French State pay the redundancy compensation 

11) Don’t be ashamed to spread uncertainty about the dates (bankruptcy, closure, employees departure, communication to Representatives…) and keep on adding confusion about salary payment (one day Yes, one day No, one day paid 50/50 between Avon and State redundancy compensation…)
12) At the same time, ease your conscience by pretending that everything is done to save Avon France from bankruptcy
13) Delay for months InterCompany services payments to postpone the state of insolvency declaration to the Commercial Court
14) Continue asking the employees to work as usual, like if nothing was happening
15) On the pretext of Work Council written communications, put on hold negotiations. Then, require appeasement to restart negotiating, while finally you never fix a date again.



L’AGONIE : les 5 étapes supplémentaires aux 
10 ETAPES POUR SE SEPARER DES EMPLOYES DE SA FILIALE SANS DEPENSER UN ROND 

Pour rappel… 
1) Indiquer la fin du soutien financier à sa filiale 

2) La recapitaliser en rachetant les dettes pour pouvoir mieux la liquider 
3) Réinjecter une petite somme sous forme de prêt 
4) Prendre un cabinet de consultant de renommée mondiale pour faire l'analyse du marché sur lequel on est présent depuis plus de 50 ans
5) Solliciter l'aide d'un mandataire judiciaire non expérimenté en vente directe pour trouver des solutions 
6) Nommer le "sauveur des filiales en crise" du Groupe comme Président 
7) Le laisser présenter des solutions de relance de la filiale 
8) Refuser poliment les solutions de relance (notamment celles qui présentent un retour sur investissement à 5 ans) 
9) Attendre la chute des résultats jusqu'à la cessation des paiements 
10) S'en remettre à la décision du juge qui n'aura pas été celle d'Avon et faire payer les licenciements par les AGS. 

11) Répandre sans honte l’incertitude sur les délais (de cessation des paiements, de la fermeture du site, de départ des salariés, d’information aux Ambassadrices,…) et entretenir la confusion sur le paiement des salaires (un jour oui, un jour non, un jour payé 50/50 entre Avon et les AGS…)
12) Dans le même temps, prétendre que tout est mis en œuvre pour sauver l’entreprise dans un dernier sursaut de bonne conscience
13) Retarder depuis des mois le paiement des factures inter-filiales (les ‘Intercompany’) pour faciliter le report de la date de cessation des paiements au Tribunal
14) Continuer de demander aux salariés de travailler comme si de rien n’était
15) Prendre le prétexte des communications du CE pour rompre les négociations, exiger un apaisement en terme de communication pour reprendre les négociations, pour finalement ne jamais refixer de date en ce sens

1 commentaire:

  1. on peut rajouter téléphoner aux ambassadrices pour leur vendre des lots et quand je leur ai répondu que nous n'étions informées de rien et que la société avait des soucis je me suis entendue répondre:"ce sont des rumeurs madame"!!!!!!!!!!!!

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